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Le luxe à prix abordable : le savoir-faire artisanal se démocratise grâce à la vente en ligne et au développement durable

Le commerce de détail indépendant haut de gamme fait son come-back.En mai 2018, Bloomberg faisait déjà état de la réduction du nombre de grandes surfaces telles que Walmart aux USA, face à des consommateurs de plus en plus désireux de consommer autrement. En juillet 2019, c’est au tour de Forbes de souligner, avec beaucoup de justesse, que le commerce indépendant a connu une évolution telle qu’il n’en connaîtra plus avant bien des années.


Le luxe à prix abordable : le savoir-faire artisanal se démocratise grâce à la vente en ligne et au développement durable

 

Le commerce de détail indépendant haut de gamme fait son come-back.

En mai 2018, Bloomberg faisait déjà état de la réduction du nombre de grandes surfaces telles que Walmart aux USA, face à des consommateurs de plus en plus désireux de consommer autrement. En juillet 2019, c’est au tour de Forbes de souligner, avec beaucoup de justesse, que le commerce indépendant a connu une évolution telle qu’il n’en connaîtra plus avant bien des années.

La société s’est-elle simplement lassée des grandes marques et de la culture de la consommation ? Assistons-nous à une sorte de prise de conscience collective et, par conséquent, à la revalorisation du savoir-faire artisanal? Ou à une augmentation soudaine du revenu disponible des citoyens ? Pourquoi les consommateurs se détournent-ils tout à coup des biens de consommation de moindre qualité pour privilégier des alternatives haut de gamme et luxueuses ?

À base de ce changement de comportement et d’habitudes chez Monsieur et Madame Tout-le-Monde, avec un net regain d’intérêt pour les produits de qualité et de luxe au détriment de ce que nous pouvons appeler la fast fashion, nous pouvons identifier deux phénomènes culturels majeurs :

  1. La vente au détail en ligne offrant facilité d’utilisation et réduction de coûts
  2. Le développement durable et le choix de matériaux naturels

 

La révolution du e-commerce

La vente en ligne, comme nous le savons tous, nous permet d’effectuer aujourd’hui à peu près n’importe quel achat sans quitter le confort de notre maison.

De nos jours, Amazon s’impose évidemment comme le leader du marché, ayant pratiquement transcendé le statut de grand distributeur pour être vu aujourd’hui– un peu à la manière de Google – comme une véritable plateforme numérique.

Les distributeurs indépendants peuvent désormais servir directement leurs clients en ligne –par l’intermédiaire d’Amazon mais aussi de Google Shopping ou d’Alibaba (géant chinois du commerce électronique) – et certains d’entre eux ont donc naturellement décidé de mettre un frein à leurs opérations physiques, réduisant considérablement leurs frais généraux et se procurant ainsi un avantage concurrentiel de taille au sein du marché.

Grâce au commerce électronique, les entreprises peuvent vendre des produits de meilleure qualité à moindre coût et permettre aux consommateurs de se détourner de plus en plus facilement des produits bon marché et de moindre qualité, devenus le symbole de la société de consommation dans les années 1990 et 2000.

Aujourd’hui, plus que jamais, les consommateurs réalisent qu’ils peuvent acheter en ligne des produits avec une grande qualité de fabrication à des prix raisonnables.

Mais ce n’est pas uniquement la réduction de coûts à elle seule, rendue possible par la vente en ligne, qui a permis de convaincre les acheteurs de tous horizons économiques de se tourner à nouveau vers le haut de gamme.

 

Le shopping responsable

Le retour à des biens de consommation de plus grande qualité s’explique aussi par l’un des enjeux principaux auquel sont confrontées les plateformes de vente en ligne : le développement durable.

Dans un article paru en décembre 2019, Drapers rapporte que : « près de deux tiers des acheteurs pensent que les distributeurs et les marques ont la responsabilité d’assurer des pratiques durables » et, déjà en 2008, une étude menée par l’institut Ipsos MORI sur les Enjeux liés au développement durable dans le secteur du retail a démontré le fait que 51 % des acheteurs interrogés affirment avoir déjà modifié leur façon de faire des achats afin de tenir compte des enjeux sociaux et environnementaux.

On pourrait donc penser, sachant que le leader mondial de la vente au détail a admis avoir contribué à l’équivalent de 44,4 millions de tonnes métriques de CO2 dans l’environnement en 2019 , qu’aucun acheteur qui se considérerait vraiment écolo ne s’y aventurerait. Pourtant, avec une part de marché de l’ordre de 40 % rien qu’aux États-Unis, il semblerait que la pièce ne soit pas encore tombée pour les acheteurs les plus soucieux de l’environnement.

Ceci s’explique certainement par le fait que les plateformes en ligne ne sont pas tant considérées comme des entités physiques mais plutôt comme des espaces de vente immatériels. En réalité, les choses sont pourtant bien différentes (prenez un centre logistique appartenant à Alibaba en Belgique, par exemple, sa surface occupe plus de 30 terrains de football – et vous n’avez là qu’une seule infrastructure d’un vaste portefeuille de biens immobiliers).

Quand vous achetez en ligne des produits « respectueux de l’environnement », vous éprouvez le sentiment d’effectuer un achat durable. Mais l’entreprise qui met ces produits à votre disposition est peut-être aussi prête à vendre bien d’autres sortes de produits (pas uniquement ceux qui sont écologiques) depuis l’un de ses énormes entrepôts. Y avez-vous déjà pensé ? Il ne faut pas croire tout ce qui se dit sur Internet.

 

Les produits de luxe durables

Afin de s’assurer de la manière la plus efficace possible que les consommateurs puissent acheter des biens de consommation de grande qualité à des prix raisonnables, les distributeurs indépendants s’inspirent du meilleur des deux mondes : la vente en ligne et le shopping responsable.

En proposant directement en ligne des produits de luxe sélectionnés avec soin, les sociétés indépendantes comme la nôtre sont en mesure de réduire drastiquement leur nombre de points de vente et d’impacter ainsi positivement le prix de vente des produits en question, tout en opérant dans les limites imposées par certaines considérations éthiques et environnementales.

En ce qui concerne les activités de Riluxa, par exemple, nous opérons sur l’ensemble du continent européen ainsi qu’au Royaume-Uni et aux États-Unis mais l’empreinte écologique de notre parc immobilier est relativement minime. Nous travaillons avec un nombre limité de partenaires, depuis notre unique siège social établi à Valence (Espagne), qui centralise l’ensemble de nos opérations – un petit nombre d’entre elles étant même effectuées à distance par des collaborateurs qui travaillent depuis chez eux.

Nous sommes extrêmement exigeants quant aux modèles de salle de bains de luxe que nous vendons. Nous sélectionnons des matériaux durables et recyclables comme le marbre, le quartzite et le bois pour concevoir nos produits et, quand ils ne sont pas conçus à 100 % à partir de matériaux naturels, ils le sont tout du moins de composés de matériaux naturels qui font uniquement appel à des procédés artificiels afin d’étendre leur durée de vie pour qu’ils ne doivent pas être remplacés ou renouvelés avant de nombreuses années. Il s’agit ici de matériaux tels que le Corian et le Silestone, par exemple.

Bien entendu, c’est aux consommateurs de déterminer ce qui est important pour eux dans la manière dont ils font leur shopping, mais ce que nous pouvons observer aujourd’hui – y compris chez nos propres clients – c’est qu’ils ont tendance à poser 3 questions clés avant de se décider à effectuer ou non un achat :

  • Le produit est-il à la fois beau, fonctionnel et durable ?
  • Quel est son impact environnemental ?
  • Combien est-ce qu’il coûte ?

Quand vous les voyez apparaître comme ça, vous vous dites naturellement que ces questions sont évidentes pour tout qui envisage l’achat d’un produit. Pourtant, si une entreprise ne traite pas l’ensemble de ces questions de manière égale, elle ne répond tout simplement pas aux attentes de ses clients. C’est pourquoi les consommateurs chercheront– et cherchent, comme nous l’indiquions plus haut – à consommer autrement, se tournant vers des entreprises qui visent continuellement à améliorer leurs produits, leurs pratiques et leurs prix et qui s’engagent à adresser les 3 questions clés qui précèdent dans tout ce qu’elles entreprennent.